L’Eweta est fière d’annoncer qu’elle fait maintenant partie du projet Erasmus + !
Celui-ci a officiellement été lancé ce 5 mai.
Contexte du projet présenté porté par CONACEE
La Commission Européenne estime qu’une personne sur six souffre d’un handicap dans les pays de l’UE. Cela signifie qu’environ 80 millions de personnes souffrent d’un handicap qui limite leurs activités de la vie quotidienne. Il n’y a pratiquement pas de données sur le type d’emploi auquel les personnes en situation de handicap ont accès, et pourtant nous savons que seulement 50,6% des personnes en situation de handicap ont un emploi contre 74,8 % des personnes dites « valides ».
Une étude récente menée à l’échelle de l’UE auprès des personnes en situation de handicap montre que 96 % d’entre elles considèrent que l’accès au marché du travail ouvert est inadéquat ou doit être amélioré. Dans un contexte de chômage de masse, la difficulté de conserver leur emploi ou d’en trouver un nouveau est encore plus grande pour les travailleurs en situation de handicap. L’absence de
formation et d’expériences formelles, le protectionnisme familial, les préjugés et les barrières sociales, le manque d’information et de sensibilisation au phénomène de la sensibilisation au phénomène du handicap, la méconnaissance des adaptations qui peuvent être apportées sur le lieu de travail, le manque d’accessibilité au lieu de travail, le manque de confiance dans les possibilités de ces personnes, le manque d’auto-motivation personnelle, la technification et la numérisation de l’emploi, ou encore l’âge avancé… sont des difficultés d’intégration particulières et les principaux obstacles à l’inclusion rencontrés par les personnes en situation de handicap dans le processus de leur intégration sur le marché du travail, ainsi que les principaux obstacles qu’elles doivent surmonter et auxquels ils trouvent une réponse dans les emplois proposés par les entreprises inclusives.
Dans les pays des partenaires du projet, l’obligation commune des entreprises inclusives est de fournir un cadre et un emploi de qualité aux personnes en situation de handicap.
Ils disposent généralement d’équipes pluridisciplinaires composées de spécialistes dans de nombreux domaines : psychologues, travailleurs sociaux, job coaches, éducateurs, travailleurs sociaux, travailleurs sociaux, travailleurs sociaux, travailleurs sociaux, travailleurs sociaux, travailleurs sociaux et autres,
travailleurs sociaux, job coachs, éducateurs sociaux, kinésithérapeutes, etc… Le soutien au travailleur est toujours sur une base individuelle et vise à les aider à surmonter les barrières, les obstacles ou les difficultés qu’ils rencontrent dans leur travail et atteindre leur autonomie, leur pleine intégration dans le monde du travail et leur bien-être personnel et social.
Le Projet
Selon les demandes des autorités et des organisations internationales, la pleine inclusion des personnes en situation de handicap sur le marché du travail passe par la reconnaissance et l’exercice de leur droit à intégrer le marché du travail ordinaire.
Dans ce sens, ce projet vise à progresser dans l’objectif de doter les personnes en situation de handicap travaillant dans des entreprises inclusives des compétences nécessaires pour accéder à l’emploi dans le secteur ouvert.
Toutefois, afin de promouvoir activement la transition des travailleurs en situation de handicap de l’entreprise inclusive vers l’emploi ouvert, « l’unité de soutien » des entreprises inclusives doivent
élargir leurs tâches. Cette nouvelle tâche génère une opportunité d’apprentissage parmi les travailleurs de l’unité de soutien ou parmi d’autres professionnels de l’insertion professionnelle afin de s’adapter aux besoins du marché du travail inclusif.
En outre, dans cette nouvelle tâche, les travailleurs de l’unité de soutien pourront choisir des outils qu’ils mettront au service des travailleurs en situation de handicap pour les former et faciliter leur travail d’intégration dans le marché du travail ordinaire.
Ce projet vise à aborder, d’un point de vue pratique et constructif, sur la base de l’observation et de l’échange de bonnes pratiques, la question suivante : la conception d’une formation inclusive, afin de favoriser à terme la transition des personnes en situation de handicap.
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